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[1]http://www.isoc.org

[2]Sur les six premiers mois de 1995, la progression du nombre de "domaines Internet" est de 53% en Afrique (celle de l'Afrique du Sud seule, n'est que de 35%), 51% en Asie (dont 44% en Chine et en Inde), tandis qu'elle n'est "que" de 40% en l'Europe de l'Ouest, et de 35% au États Unis.

[3]Des micro-ordinateurs très puissants.

[4]Pérou; Équateur; Nicaragua; Costa Rica;

[5] Rede Nacional de Pesquisa

[6]http://sgn.ssu.runet.ru/sgn.html

[7]http://www.ntt.jp/SQUARE/www-in-JP-j.html

[8]Depuis un an, l'AUPELF (Association des universités partiellement ou entièrement de langue française) s'est engagé à son tour dans l'Internet en ouvrant des points d'accès au réseau dans ses centres de documentations (centres SYFED).

[9]voir notamment l'École normale supérieure et l'Institut national de recherche en informatique et automatique).

[10]L'Afrique, par exemple, produit moins de 0,3 % de la production scientifique mondiale (Chatelin et Waast "l'Afrique scientifique des années 1980", ORSTOM-Edition, à paraître en février 1996).

[11]Lire à ce sujet "Et Dieu créa l'Internet" de Christian Huitéma (Édition Eyrolles 1995).

[12]Projets Iridium, Globalstar, etc.

[13]Littéralement épine dorsale, ce terme désigne les grandes artères d'interconnexion à l'Internet sur laquelle peuvent reposer un grand nombre de ramification locales. Un grands nombre de réunions se sont tenu en 1995 à Washington sur l'idée de la mise en place d'un "African Backbone"... La même idée, sous le nom d'Infoport est portée par la Francophonie.

[14]Un micro-ordinateur type PC486 ou Macintosh suffit pour réaliser un serveur multimédia "WEB" et un gestionnaire de centaines de boites aux lettres électroniques.

[15]Des établissements du Sud comme l'IRSIT en Tunisie, ou l'association "Red cientifica Peuana" ont une riche expérience qui gagnerait à être mieux connue en Afrique.

[16]S'adressant en juillet 1995 à des responsables de plusieurs secteurs de la Banque Mondiale et à des dirigeants de multinationales, Jean-François Rischard, vice président pour les finances et le développement du secteur privé, chargé du programme InfoDev, terminait son discours en mettant l'accent sur "le risque d'exclusion de certains pays et de certains groupes parmi les plus pauvres et les plus vulnérables".

[17]http://www.rcp.net.pe

[18]Déclaration de Ouagadougou, signée en août 1994, à l'occasion du Colloque africain de recherche en Informatique organisé avec l'appui de l'Inria (Institut National de Recherche en Informatique et Automatique - France), de l'Orstom (Institut français de recherche scientifique pour le développement en coopération) de l'UNU (Université des Nations Unies) et de la Coopération française.




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Page réalisée par Asdrad TORRES
Dernière mise à jour : Jeu 13 juil 2000