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[1]Lire à ce sujet, Jean-François Tétu et Françoise Renzetti, <<Internet : évolution d'un espace public de la recherche>>, Technologies de l'information et société, vol.7, n°ree;2, Dunod, 1995.

[2]Carlos-Aberto Afonso, <<Au service de la société civile>>, et Roberto Bissio, Cyberespace et démocratie, Le Monde diplomatique, juillet 1994.

[3]Condamné à mort par la justice américaine pour un crime qu'il nie avoir commis et malgré d'incontestables irrégularités commises pendant l'instruction. Tous les réseaux progressistes connectés à Internet diffusèrent l'appel pour la révision du procès alors que la "grande" -- comme la "petite" --presse restait silencieuse. Lire à ce sujet, Jean-François Tealdi, <<Chronique d'une mort annoncée>>, Le courrier des médias, août 1995).

[4]A travers un service permanent d'information de type minitel alimenté par des sources "proches" de l'Armée Zapatiste de Libération Nationale (EZLN).

[5]John Perry Barlow, <<Howdy Neighbours>>, The Guardian, 25 juillet 1995. JP Barlow : coauteur de chanson du groupe Dreadful Dead, cofondateur et vice-président de l'Electronic Frontier Foundation, membre du comité de direction du Whole Earth `Lectronic Link, auteur de nombreux articles sur la virtualisation de la société, et propriétaire d'un ranch dans le Wyoming.

[6]Micro-Informatique : Carrefour joue la carte multimédia, La Tribune Desfossé, 26 septembre 1995.

[7]Lire Andrew L. Shapiro, <<Street Corners in Cyberspace>>, The Nation, 3 juillet 1995.

[8]Barlow, op. cit.

[9]Noam Chomsky, PNEWS, 1er mai 1995.

[10]Christian Huitema, <<Un français à la tête d'Internet>>, Internet Reporter, mai 1995.

[11]Ibid.

[12]Fondée par JP Barlow et Mitch Kapor cofondateur multimillionnaire de la société de développement de logiciel Lotus. Lire Yves Eudes, <<L'odyssée des pirates dans la jungle Internet>>, Le Monde diplomatique, juin 1995

[13]Eurobit-ITI-Jeida, Global Information Infrastructure, Tripartite preparatory meeting, 26/27 janvier 1995. À elles trois ces organisations représentent des intérêts de firmes des trois grand pôles économiques mondiaux La première affirme regrouper 100% des industriels européens du matériel, du logiciel ou des services opérant dans les secteurs des ordinateurs, des technologies de l'information et des télécommmunications. Elles emploieraient un demi-million de personnes et totaliseraient quelques 1000 milliards de francs de chiffre d'affaire. L'américaine ITI n'est pas en reste puisqu'elle compte dans ses adhérents des sociétés employant plus d'un million de personnes (rien qu'aux États-Unis) et totalisant plus de 1300 milliards de francs de CA. Quant à l'organisme japonais, la liste de ses adhérents laisse supposer qu'il représente une puissance du même ordre, bien qu'aucun chiffre consolidé ne soit fourni. Longue de plus de cent vingt noms, elle comprend entre autre : Canon, Fujitsu, Fuji, Kawasaki, Kubota, Matsushita, Mitsubishi, NEC, Sanyo, Sharp, Sony, Sumitomo, Toshiba, Hitachi, Yamaha.

[14]Yves Eudes, op. cit.

[15]Lire Serge Halimi, <<Les `boîtes à idées' de la droite américaine>>, Le Monde diplomatique, mai 1995.

[16]Lire Cato Institute, The Cato Hanbook for congress, 1995.

[17]Ibid.

[18]Texte collectif évolutif d'Esther Dyson, George Gilder, George Keyworth et Alvin Toffler, The Cyberspace and the American Dream : A Magna Carta for the Knowledge Age, release 1.2, Progress for Freedom Foundation, 22 août 1994.

[19]Lire Julian Stallabrass, <<Empowering Technology : The Exploration of Cyberspace>>, new left review, mai-juin 1995.

[20]Esther Dyson et al., op.cit.

[21]Jon Wiener, Free Speech on The Internet, The nation, 13 juin 1994.




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Page réalisée par Asdrad TORRES
Dernière mise à jour : Jeu 13 juil 2000